La plateforme de données partagées pour l'observation et la décision
en Bourgogne-Franche-Comté.
Un outil destiné aux décideurs et techniciens des collectivités, services publics, branches et organisations professionnelles ... ainsi qu’aux entreprises et au grand public.
10 thématiques d’observation :
Près de 50 sources de données issues notamment de 20 fournisseurs d’information partenaires, plus de 600 indicateurs représentés.
Un dispositif développé et animé par
Profitez des dernières publications (études, enquêtes, brochures, etc.)
réalisées par nos différents partenaires.
La région Bourgogne-Franche-Comté possède un patrimoine d’infrastructures important indispensable à l’activité et au développement du territoire. L’inventaire de ces réseaux, ouvrages d’arts et infrastructures et l’estimation de leur valeur à neuf permettent de mesurer leur impact sur l’attractivité du territoire régional.
L’étude Bâtiment Durable 2021 permet de mesurer les tendances et les bilans 2020 des dispositifs d’incitation à la rénovation énergétique (notamment la mise en place de Ma Prime Rénov’) et d’apprécier l’adaptation des professionnels à ce domaine d’activité.
Objectif de l’enquête : identifier les besoins en compétences des entreprise de plus de 50 salariés du secteur des Travaux publics en BFC : projets de recrutement à 1 an, pratiques de formation depuis 3 ans, compétences à développer. Caractéristiques de l’échantillon
Filière des matériaux : chiffres clés BFC, empreinte socio-économique L’industrie extractive : granulats (ressources, sites de production, emploi, localisation, secteurs d’activité, retombées fiscales), pierres de construction et roches ornementales (activité, emploi, localisation, secteurs d’activité, retombées fiscales), organisation, flux financiers, Transformation (Béton prêt à l’emploi) : secteurs d’activité, flux financiers, ressources, sites de production, activité, emploi, localisation, retombées fiscales) Méthodologie
Emfor publie des atlas donnant accès, pour chaque zone d’emploi et chaque établissement localisé dans la zone, aux effectifs inscrits à la rentrée 2020/21 et ventilés par diplôme et niveau de formation. Ces atlas sont déclinés pour les établissements de formation par apprentissage, les lycées publics de l’Éducation nationale, les établissements privés sous contrat avec l’Éducation nationale et les établissements de formation agricole. Un système de filtres dans les atlas permet d’affiner ses choix. Les atlas seront mis à jour chaque année.
Les Métiers en 2030 dresse un panorama chiffré des perspectives des métiers à l’horizon 2030 qui intègre à la fois les grandes tendances observées par le passé et les évolutions attendues sur les plans démographiques, économiques, technologiques et environnementaux. Le rapport, coréalisé par France Stratégie et la Dares, vise à anticiper les évolutions et besoins par secteur et les déséquilibres potentiels entre offre et demande d’emploi, afin de guider les politiques publiques. Au regard des bouleversements économiques et sociaux induits par la crise sanitaire, le rapport éclaire leur impact à moyen terme sur la dynamique d’emploi des secteurs d’activité et des métiers. Il tient également compte des enjeux liés à la lutte contre le réchauffement climatique.
Emfor publie une étude relative aux besoins de compétences et de formation des entreprises de la filière microtechniques en Bourgogne-Franche-Comté, dans le cadre de l’Adec-Arefe. L’étude a été conduite au cours du printemps-été 2021 sur la base d’entretiens réalisés auprès de 14 entreprises ayant accepté de participer à l’enquête. La synthèse de l’étude met l’accent sur les besoins en compétences techniques, transversales et savoir-être attendus par les entreprises en fonction des domaines d’activités ciblés (luxe, aéronautique-défense et santé) et des métiers stratégiques.
Cet état des lieux est basé sur l’analyse de données quantitatives portant sur l’emploi, le marché du travail et la formation. Des entretiens menés auprès d’entreprises et d’acteurs de la filière numérique en région viennent compléter les tendances mises en avant par l’analyse des données. L’état des lieux a été réalisé dans le cadre du Contrat d’appui à la performance économique et à l’évolution des compétences (Capéco 2018-2021) liant la Région Bourgogne-Franche-Comté, l’État (Dreets et autorités académiques), Pôle emploi et la filière numérique.
Au 1er janvier 2019, la Bourgogne-Franche-Comté compte 2 805 580 habitants. En six ans, la population est légèrement en baisse dans la région alors qu’elle a augmenté de 0,4 % par an en France métropolitaine. Seuls les départements de la Côte-d’Or et du Doubs conservent une dynamique démographique positive.
Des disparités fortes entre les principaux EPCI et les principales communes.
Un fort décrochage de l’activité, mais des perspectives de reprise
La filière aéronautique et spatiale regroupe 4 480 sociétés en 2020
La filière emploie 7 % des salariés de l’industrie française
En 2020, le chiffre d’affaires généré par l’activité aérospatiale baisse de 32 %
Un choc de demande plus fréquemment cité que les contraintes sanitaires et les difficultés d’approvisionnement
Les effectifs dédiés à la filière baissent de 8 % en 2020, soit 23 300 salariés de moins
Un recours massif aux dispositifs d’aides, mais peu de changement de localisation de l’activité
Des projets d’innovation, même en temps de crise
Un redécollage de l’activité en 2021
L’emploi se redresserait dans le tertiaire, mais diminuerait encore dans l’industrie
Encadré 1 – Une forte dépendance au marché aérospatial et au principal client
Encadré 2 – Des sociétés également présentes sur le marché militaire
La dorsale urbaine qui s’étend de Mâcon à Belfort constitue l’un des 27 réseaux d’aires d’attraction des villes (AAV) de province. Cette dorsale relie dix AAV entre elles par les déplacements domicile-travail. Elle se caractérise par une continuité de densité de population, d’infrastructures et d’équipements. L’intensité des relations entre les AAV qui la composent y est globalement plus faible que dans les autres systèmes urbains de province. La distance plus importante, les spécificités sectorielles moins marquées et l’absence de continuité entre Dijon et Besançon, ne favorisent pas les échanges d’actifs. Finalement, seules Delle, Belfort et Montbéliard forment un sous-système urbain, avec des liens très forts.
La Région Bourgogne-Franche-Comté et la Dreets ont confié à Emfor la réalisation d’une étude relative aux besoins de compétences, recrutements et formation en région sur la base d’une
enquête et d’entretiens auprès d’industriels et de collectivités territoriales engagés dans la filière hydrogène.Ce qu’il faut retenir :
– Les profils recherchés par la filière hydrogène correspondent à des métiers existants
– Les besoins de compétences exprimés par les entreprises reflètent le niveau de développement de la filière
– Des besoins de recrutements sans doute sous-estimés au regard de l’évolution attendue et pressentie
– Les entreprises sont d’ores et déjà confrontées à des difficultés de recrutement
– La nécessité de disposer d’une offre de formation adaptée aux besoins des entreprises
Rédaction : Agences d’urbanisme de BFC
Sur la carte de la Région Bourgogne-Franche-Comté, la notion de Dorsale Rhin-Rhône résulte d’un triple constat : un alignement des centralités majeures, un système de liens entre ces centralités, un corridor de trafic armé de puissantes infrastructures.
Partie 1. Séquence introductive de la notion de dorsale Rhin-Rhône
1.1. Rhin-Rhône comme fait géographique
1.2. Rhin-Rhône levier politique et sujet régional
Partie 2. La dorsale comme structure régionale
2.1. Le caractère régional de la dorsale
2.2. La qualification des plaques de la dorsale
2.3. La spécialisation par secteur d’activité de la dorsale
Partie 3. La dorsalité au cœur du territoire
3.1. Les infrastructures de la dorsalité et leur transmodalité
3.2. La dorsale comme système régional : liens internes et liens externes
Vue d’ensemble
La situation de l’appareil productif français avant la crise sanitaire de la Covid‑19
Dossiers
Pandémie de Covid‑19 et pertes d’activité : évaluation de l’impact de la crise sur les trajectoires des entreprises françaises en 2020
Le secteur de l’hébergement‑restauration à travers la crise sanitaire de 2020
Caractéristiques et dynamiques de l’emploi dans les start‑up en France
1. Structure du système productif
1.1 Catégories d’entreprises
1.2 ETI en France
1.3 PME en France
1.4 Emploi salarié selon les catégories d’entreprises par zone d’emploi
1.5 Créations et suppressions d’emplois par catégories d’entreprises et zones d’emploi
1.6 Firmes multinationales et territoires
1.7 Créations d’entreprises (y compris micro‑entrepreneurs)
1.8 Créateurs d’entreprises
2. Activité, emploi et couts salariaux
2.1 Valeur ajoutée
2.2 Taux de marge
2.3 Emploi
2.4 Cout du travail et salaires
3. Mondialisation, compétitivité et innovation
3.1 Échanges extérieurs et entreprises exportatrices
3.2 Mondialisation et firmes multinationales
3.3 Investissement
3.4 TIC et commerce électronique
3.5 Recherche et développement expérimental
3.6 Innovation
3.7 Impôt sur les sociétés
3.8 Vision globale sur la fiscalité directe portant sur les entreprises
3.9 Financement des PME
4. Énergie et développement durable
4.1 Consommation d’énergie dans l’industrie
4.2 Investissements de l’industrie pour protéger l’environnement
5. Secteurs principalement marchands non agricoles et non financiers
5.1 Secteurs principalement marchands non agricoles et non financiers
6. Industrie
6.1 Vision du secteur de l’industrie avec la définition économique des entreprises
6.2 Chiffres clés de l’industrie
7. Construction
7.1 Vision du secteur de la construction avec la définition économique des entreprises
7.2 Chiffres clés de la construction
8. Commerce
8.1 Vision du secteur du commerce avec la définition économique des entreprises
8.2 Chiffres clés du commerce
9. Transports et entreposage
9.1 Vision du secteur des transports et de l’entreposage avec la définition économique des entreprises
9.2 Chiffres clés des transports et de l’entreposage
10. Services marchands
10.1 Vision du secteur des services marchands avec la définition économique des entreprises
10.2 Chiffres clés des services marchands
Annexes
Le champ des statistiques d’entreprises de cet ouvrage
Nomenclature d’activités française (NAF rév. 2)
Glossaire
La taille des aires d’attraction des villes (AAV) de Bourgogne-Franche-Comté influence leurs
fonctions et la structure de leur emploi.
Des aires de plus de 50 000 habitants qui se ressemblent
Dijon : un profil d’emploi proche des plus grandes aires de province
Un maillage de petites AAV, relais d’emplois tertiaires dans les territoires ruraux
Certaines petites AAV industrielles développent aussi des fonctions tertiaires typiques des grandes aires
Les autres petites AAV, souvent très spécifiques, à l’orientation agricole ou industrielle
Ce document trimestriel, fruit d’un partenariat avec la Direccte, la Région, l’Insee, les Urssaf, l’AER BFC et Emfor, propose une cinquantaine d’indicateurs permettant d’appréhender les effets de la crise sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté à travers l’activité économique, les aides aux entreprises, l’activité partielle, l’emploi, le marché du travail, la formation et la situation des jeunes. Des liens renvoient vers les notes de conjoncture des partenaires. Le Baromètre est enrichi ce trimestre de zooms qualitatifs : l’impact de la crise sur les conditions de travail et l’impact sur le secteur de la construction et en particulier l’activité entretien-rénovation du bâtiment.
L’activité de l’artisanat du bâtiment a retrouvé le niveau d’activité de 2019, le premier semestre 2021 affiche une croissance de + 0,5 % par rapport à 2019. Ainsi, le deuxième trimestre 2021 enregistre, par rapport au même trimestre de l’année précédente, une envolée de sa croissance + 37 % (contre – 24 % au 2T2020). Toutefois, il convient de rappeler qu’au deuxième trimestre 2020, à la suite du premier confinement, la reprise n’avait été que partielle et graduelle. Cette conjoncture exceptionnelle évolue cependant dans un contexte incertain au regard de la crise sanitaire et de l’envolée des prix des matières premières. Les entreprises artisanales prouvent leur capacité d’adaptation en mobilisant toutes leurs ressources pour faire face aux rattrapages de chantiers accumulés durant les périodes de confinement, ainsi qu’à la demande supplémentaire notamment en provenance des particuliers.
Valeur des échanges de biens fonciers agricoles en 2020 en BFC, selon la nature et la vocation des terrains
La viticulture donne toujours le La
Des prix stables ou en baisse, mais une production de vins en forte hausse
La moisson amputée pèse sur le résultat
Un léger mieux pour les productions animales
Le lait AOP Massif du Jura en progression régulière
Des charges globalement en baisse
Peu de changement pour les subventions, en attente de la nouvelle PAC
Une amélioration dans la dépendance aux aides
Au cœur de l’espace franc-comtois
Les habitants
L’habitat
Le contexte socio-économique
Le niveau et le cadre de vie
Les transitions numérique et énergétique
Plus de 82 000 salariés permanents sur Dijon métropole travaillent dans un des secteurs d’emplois définis.
Une hausse de l’emploi portée par le tertiaire
Les secteurs d’emplois dynamiques masquent les difficultés des secteurs en déclin
6 secteurs d’emplois concentrent plus de la moitié des emplois
Désindustrialisation dans de nombreux secteurs d’emplois
Un bilan négatif sur 10 ans dans la construction malgré la dynamique depuis 2015
Des évolutions très disparates dans le commerce
60 % des emplois concentrés dans les services
Malgré le rebond 3e trimestre, l’emploi ne retrouve pas son niveau d’avant crise
Des ouvriers qualifiés et une assez forte féminisation
Forte dépendance de l’emploi horloger
En Bourgogne-Franche-Comté, une petite filière à forte valeur ajoutée
La fabrication offre les meilleurs salaires
La sous-traitance regroupe la moitié des effectifs de la filière
Un réseau de distribution important
Des écoles de l’excellence
Encadré 1 – Une filière touchée par le recul des exportations en 2020
Encadré 2 – Une filière à la pointe des microtechniques
Une fiche synthétique mise à jour annuellement, recensant les principaux indicateurs de cadrage concernant les jeunes, selon 3 entrées : les caractéristiques du territoire, la population, l’emploi et le chômage.
+ métiers recherchés
Disponible à l’échelle de la région Bourgogne-Franche-Comté, de ses 8 départements et de ses 26 missions locales.
https://bourgogne-franche-comte.dreets.gouv.fr/Diagnostic-Jeunes
Synthèse régionale – Contexte national
Impacts économiques de la crise sanitaire – L’hôtellerie-restauration, secteur économique le plus durement touché par les mesures imposées par la crise
Emploi – Une baisse de l’emploi plus forte qu’au niveau national
Chômage et politiques de l’emploi – Le taux de chômage à son niveau le plus faible depuis douze ans
Démographie d’entreprises – La crise sanitaire dope la création de micro-entreprises
Agriculture – L’agriculture touchée par les difficultés de la restauration et les aléas climatiques
Construction – Le marché du logement résiste à la crise
Transports – Trou d’air pour le trafic aérien
Tourisme – La fréquentation hôtelière chute de près de la moitié dans la région
Frontaliers – Croissance atténuée de l’emploi frontalier
À Dijon Métropole, 40 % d’étudiants parmi les 16-29 ans
Un pôle universitaire attractif au-delà du département
Un quart des étudiants inscrits à Dijon Métropole vivent en dehors de l’agglomération
Une hausse de la demande de logements
Le logement : une contrainte budgétaire qui influence le mode de vie des étudiants
Les petits appartements meublés de plus en plus prisés
À proximité de l’université, une forte densité de petits logements
Encadré – Un étudiant sur cinq déclare occuper un emploi
État des lieux, recherche de nouveaux pôles touristiques et préconisations pour le renforcement de l’attractivité.
Flux touristiques et stratégies
Exemples régionaux de bonnes pratiques, dont Nièvre et Morvan.
Ce document trimestriel, fruit d’un partenariat avec la Direccte, la Région, l’Insee, les Urssaf, l’AER BFC et Emfor, propose une cinquantaine d’indicateurs permettant d’appréhender les effets de la crise sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté à travers l’activité économique, les aides aux entreprises, l’activité partielle, l’emploi, le marché du travail, la formation et la situation des jeunes.
Des liens renvoient vers les notes de conjoncture des partenaires.
Le Baromètre est enrichi ce trimestre de zooms qualitatifs : l’impact de la crise sur les conditions de travail et l’impact sur le secteur de la construction et en particulier l’activité entretien-rénovation du bâtiment.
Principaux résultats de l’étude Centralités : comment les identifier et quels rôles dans les dynamiques locales et intercommunales, ainsi que leur utilité dans la mise en œuvre du programme Petites Villes de demain, conçu et piloté par l’ANCT.
Notions de centralités : équipements, services et fonctions.
Qui sont ces centres ? profils, localisation
Approche synthétique en cartes et graphiques de la situation des départements français
1. La France en dix cartes Dynamiques démographiques Structure de la population par âge Emploi Revenus et niveau de vie Logement Numérique Mobilités quotidiennes Mortalité Artificialisation des sols Agriculture et environnement
2. Portraits départementaux
12 Fiches :
Évolutions démographiques
Dynamiques des entreprises et emplois industriel
Niveaux de vie des ménages
Recettes des collectivités territoriales
Tensions sur le parc de logements
Artificialisation des sols
Lieux de résidence et lieux de travail
Mobilités résidentielles
Accès aux infrastructures de transport
Pratiques des transports quotidiens
Centralités d’équipements et de services
Accessibilité au numérique et usages
Emfor publie une étude sur les métiers du social en Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre du réseau régional d’observation des emplois et des formations du sanitaire et social.
Cette étude, présentée sous forme de fiches, regroupe des informations et des données sur la formation, le profil des étudiants, l’insertion professionnelle des sortants de formation et le profil des actifs en emploi.
En 2019, 880 personnes ont été diplômées aprè savoir suivi l’une des 13 formations du secteur dispensées en Bourgogne-Franche-Comté. Plus de 60 000 personnes exercent l’un des métierscorrespondant à ces formations dans la région.
Emfor publie une étude sur les métiers du sanitaire en Bourgogne-Franche-Comté dans le cadre du réseau régional d’observation des emplois et des formations du sanitaire et social.
Cette étude, présentée sous forme de fiches, regroupe des informations et des données sur la formation, le profil des étudiants, l’insertion professionnelle des sortants de formation et le profil des actifs en emploi.
En 2019, plus de 2 750 personnes ont été diplômées aprèsavoir suivi l’une des 13 formations du secteur dispenséesen Bourgogne-Franche-Comté.Elles se sont insérées facilement sur le marché du travail.Plus de 61 000 personnes exercent l’un des métiers correspondant à ces formations dans la région.
Emfor a réalisé une étude sur les métiers du sport et de l’animation. Elle met en avant des données relatives à l’emploi, à la formation et au marché du travail, complétées par des entretiens menés auprès d’employeurs et d’acteurs régionaux du sport et de l’animation. Plus de 7 000 personnes exercent le métier d’animateur socioculturel et de loisirs, près de 4 400 le métier de moniteur et éducateur sportif et plus de 300 le métier de directeur de centre socioculturel.
Bien que dynamique en termes d’emploi, le secteur sport-animation fait face à différentes difficultés qui freinent son développement. Les échanges avec des employeurs et des acteurs régionaux du secteur permettent d’identifier des leviers qui pourraient participer à limiter ces difficultés.
Cette synthèse détaille les principales caractéristiques des sortants de formation, le taux d’emploi des sortants de formation qualifiante ainsi que les facteurs qui l’influencent. Le nombre de stagiaires a progressé de 31 % en un an sous l’effet du Pric.
Six mois après la fin d’une formation qualifiante financée par le Conseil régional, 68 % des répondants déclarent avoir accédé à un emploi au cours des six premiers mois qui suivent la fin de leur formation, soit 5 points de plus en un an. Parmi ceux qui sont en emploi 6 mois après leur sortie de formation, 59 % occupent un emploi durable, soit 4 points de plus en un an. Plus de 8 répondants sur 10 déclarent que la formation a été déterminante dans leur retour à l’emploi.
Le commerce de centre-ville, très concentré spatialement et sectoriellement
La restauration, seule activité en progression en centre-ville
Le commerce se développe rapidement en périphérie et entraîne les services
L’emploi commercial, reflet des trajectoires démographiques des territoires
Évolution démographique toujours moins favorable dans les centres-villes
Essentiellement des personnes seules
Des logements petits, anciens et peu adaptés aux familles
L’offre de logements se restructure
Encadré – « Action Cœur de ville », un programme pour redynamiser les centres-villes
Trois destinations suisses principales
Des couples de frontaliers
Niveau de vie élevé des ménages frontaliers
Un territoire jeune et attractif
Renforcement de l’attractivité depuis les années 2000
Une économie de plus en plus résidentielle
Faible taux de chômage
Encadré – Frontaliers et non frontaliers : des contrats de travail différents et des conditions de logement semblables
Synthèse régionale – Contexte national
Emploi – Les gains d’emplois dans le tertiaire et la construction compensent les pertes de l’industrie
Chômage et politiques de l’emploi – Le taux de chômage au plus bas depuis 2008
Démographie d’entreprises – Nombreuses créations d’entreprises, notamment de micro-entreprises, stabilité des défaillances
Agriculture – Une année marquée par la canicule
Construction – Reprise dans la construction de locaux non résidentiels
Tourisme – Repli de la clientèle non-résidente dans l’hôtellerie, progression soutenue de la fréquentation des campings
Transport – Progression du trafic aérien grâce aux lignes internationales et à bas coûts
Frontaliers – L’emploi frontalier poursuit sa progression
Un réseau de villes moyennes avec deux agglomérations plus importantes
L’axe dynamique Mâcon-Chalon polarise les flux d’actifs
La Bresse, tournée vers Chalon et Lons, attire les retraités
Déprise démographique et économique à l’ouest
Forte attractivité étudiante à l’entrée en 1ᵉʳ cycle universitaire
Les 2ᵉ et 3ᵉ cycles moins attractifs malgré une offre diversifiée
Des actifs du tertiaire non marchand et de l’industrie très attirés
De nouveaux habitants en provenance de territoires proches
La proximité de la Suisse joue peu
Encadré 1 – Un départ sur 5 lié à la périurbanisation
Encadré 2 – Peu de retraités, plutôt des retours au pays
La Côte-d’Or, moteur démographique et économique de la région
Rôle déterminant de Dijon Métropole dans les dynamiques départementales
Alors que la croissance démographique reste soutenue, Dijon Métropole a perdu des emplois
À l’inverse, l’économie de Beaune a tiré profit de sa spécificité viticole et touristique
Gevrey-Chambertin partie prenante du dynamisme économique de la dorsale Dijon-Beaune
Au sud-est et au nord de Dijon, une péri-urbanisation proche de la saturation
La péri-urbanisation se poursuit dans les territoires moins denses
Peu connectées à Dijon ou Beaune, les petites centralités de l’ouest poursuivent leur déclin
Le Châtillonnais poursuit une décroissance amorcée depuis longtemps
Montbard, un territoire résilient qui affirme ses fonctions de centralité
21 zones d’emploi en Bourgogne-Franche-Comté
Un tiers de l’emploi régional dans trois zones d’emploi
Montbéliard et le Creusot-Montceau : des zones industrielles qui perdent de l’emploi
Quelques zones résidentielles à dominante industrielle
Des zones agricoles aux productions diversifiées
Neuf zones diversifiées qui disposent d’un socle d’emploi public notable
Encadré – La nouvelle méthode de constitution des zones d’emploi
Plus forte propension à attirer des habitants que les autres régions du quart nord-est de la France
Des difficultés à retenir les personnes de moins de 40 ans
Les jeunes ouvriers renforcent leur présence dans la région
Au jeu des migrations, la région gagne des ménages de petite taille et des retraités
Proximité d’un pôle urbain et atouts territoriaux, facteurs d’attractivité
Les grands pôles urbains attirent étudiants et cadres, surtout Dijon et Besançon
Un rayonnement plus faible pour les autres grands pôles
Les petites centralités en croissance cumulent plusieurs atouts
Périurbain : attractivité résidentielle avec peu d’effet sur l’emploi
Le revers de la proximité : une forte dépendance qui peut fragiliser
Certains territoires résidentialisés développent des fonctions de centralité
Territoires les moins attractifs : faiblesses structurelles et fort déterminisme géographique
Besoins courants de la population : 23 emplois nécessaires pour 100 habitants
Le nombre d’emplois dit de proximité a peu évolué entre 2008 et 2016
208 300 emplois pour les services dont l’usage est moins fréquent
Les emplois exposés à la demande extérieure plus présents en Bourgogne-Franche-Comté
Automobile, viticulture, production de fromage, des activités emblématiques de la région
Dans les grandes agglomérations, l’emploi dépend surtout de la demande locale
De nombreux territoires moins peuplés exposés à la demande extérieure
Encadré – Une hiérarchie des activités selon leur lien avec la demande locale et la demande extérieure
Bourgogne-Franche-Comté : faible croissance démographique dans les aires d’attraction des villes
La périurbanisation ralentit depuis 2012
L’installation des professions intermédiaires ne compense plus la diminution des ouvriers dans les couronnes
De grands pôles urbains, des aires frontalières et des petites centralités en croissance
Les aires de l’ouest de la région en perte démographique
En 9 ans, entre 2008 et 2017, l’emploi diminue de 44 000 salariés dans les 58 100 établissements employeurs marchands non agricoles de Bourgogne-Franche-Comté. Cette baisse est particulièrement importante dans les établissements des petites et moyennes entreprises (PME) et dans ceux des grandes entreprises. Seuls les établissements des entreprises de taille intermédiaire (ETI) gagnent de l’emploi en raison notamment de la croissance des effectifs de PME devenant des ETI. L’orientation économique industrielle dans la région et la faible croissance démographique expliquent ces tendances.
Le développement durable vise à soutenir une activité économique qui assure des conditions de vie satisfaisantes pour tous en ne compromettant pas les conditions de vie futures sur Terre. La Bourgogne-Franche-Comté présente un profil socio-économique plutôt favorable en France avec une pauvreté monétaire, des inégalités de revenus et un chômage relativement contenus. En revanche, le niveau éducatif des jeunes apparaît plus en retrait et l’accès aux équipements est souvent plus compliqué, notamment dans l’ouest de la région.
En Bourgogne‑Franche‑Comté, les 18 petites unités urbaines en déprise démographique subissent un fort vieillissement de leur population et un déclin de l’emploi présentiel. La pauvreté y est plus présente que dans les autres unités urbaines de même taille, en raison d’une insertion professionnelle plus difficile et de revenus davantage issus de retraites ou de prestations sociales. Le manque d’attractivité et la dynamique démographique défavorable de ces territoires conduisent à une vacance de logement élevée, y compris dans le parc social.
Au 1er janvier 2018, 1,5 million de personnes résident dans l’espace rural de la Bourgogne-Franche-Comté, soit plus de la moitié des habitants de la région. Constitué de communes peu denses et très peu denses, cet espace occupe 95 % de la superficie régionale. Deux types de ruralité coexistent : le rural sous influence d’un pôle urbain et le rural autonome (ou hors influence). De 2013 à 2018, le rural sous influence gagne encore des habitants mais son attractivité s’essouffle alors que le rural autonome en perd.
En BFC, le parc de résidences secondaires comprend autant de logements en 2017 qu’en 2007. Il est composé, en grande majorité, d’habitations qui six ans plus tôt étaient déjà utilisées de façon temporaire. Il est aussi le résultat de changements dans les modes d’occupation des autres logements.
Beaucoup plus de résidences secondaires ont été transformées en résidences principales, notamment dans les territoires résidentiellement attractifs proches de l’Île-de-France.
Le nombre de résidences secondaires diminue pour répondre aux besoins en résidences principales Il tend à se développer dans des espaces ruraux souvent en déprise démographique et choisis comme lieu de villégiature. Il augmente sensiblement dans la plupart des grandes agglomérations. C’est dans Dijon Métropole et le Grand Pontarlier que le parc se déploie le plus fortement.
Note de conjoncture sectorielle trimestrielle.
Emploi, activité, export, contexte.
France, BFC, départements
Note de conjoncture sectorielle trimestrielle.
Emploi, activité, export, contexte.
France, BFC, départements
Note de conjoncture sectorielle trimestrielle. Emploi, activité, export, contexte. France, BFC, départements
L’ébranlement massif de l’économie française provoqué par la crise sanitaire en 2020 a touché l’ensemble du territoire national mais selon une force variable. Afin de rendre compte finement de ce choc économique sur l’emploi, trois indicateurs complémentaires sont mobilisés à la maille de la zone d’emploi : l’exposition à la perte de valeur ajoutée via l’effet de la composition sectorielle de l’emploi ; le taux de recours apparent à l’activité partielle ; la variation de l’emploi salarié privé.